• La station d'épuration de Ploërmel

    En arrivant, on s'est partagé en 2 groupes. Un groupe a commencé par la visite de la station et l'autre groupe par le laboratoire.

    Pour nettoyer les eaux sales, il y a d'abord le prétraitement qui permet d'éliminer les sables, les graisses et les plus gros déchets. Ensuite, l'eau va dans le bassin d'anoxie où on enlève l'oxygène (cela permet entre autre d'enlever les nitrates) puis elle suit son chemin vers le bassin d'aération où on retrouve de l'oxygène pour développer les bactéries qui "mangent" les polluants.

    Les clarifacateurs servent à enlever les boues. Il y en a 3.

    Enfin, l'eau devenue propre mais pas potable retourne dans le ruisseau du Malville avant de rejoindre l'Oust.

    Il y a également des bâtiments spécifiques pour certaines eaux industrielles. Dans le lit bactérien, cela sentait vraiment mauvais.

    Dans le bureau, on a observé les bactéries au microscope relié à un ordinateur. Quand il y a trop de mauvaises bactéries, ils les tuent avec de la javel ou du chlore. Une bactérie peut vivre de 1 à 6 mois.Sur une goutte analysée, il peut y avoir des centaines de bactéries . Et dans les bassins, des milliards !

    Dans le laboratoire, on a vu une expérience : elle a mis un produit pour détecter du chlorure. L'eau est devenue toute rouge. Ils ont des protections (gants, lunettes, tenue...) pour se protéger des produits toxiques. Il y avait des analyses de MES (matières en suspension).

    A la fin d'une journée, 3 500 m3 d'eau propre mais toujours non potable sont rejetés dans le ruisseau.

    C'était bien. Par endroit, ça sentait mauvais. Nous n'imaginions pas ça comme ça.

    La station d'épuration de Ploërmel

    La station d'épuration de Ploërmel

    La station d'épuration de Ploërmel

    La station d'épuration de Ploërmel

    La station d'épuration de Ploërmel

    La station d'épuration de Ploërmel

    La station d'épuration de Ploërmel

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